Jean-Loup Dabadie

Jean-Loup Dabadie

Jean-Loup Dabadie
Jean-Loup Dabadie en 2009.
Fonction
Fauteuil 19 de l'Académie française
-
Pierre Moinot
Sylviane Agacinski
Biographie
Naissance
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14e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 81 ans)
13e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Les Portes-en-RéVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Lycée Janson-de-SaillyVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Journaliste, parolier, traducteur, réalisateur de cinéma, metteur en scène, scénariste, dialoguiste, écrivain, adaptateurVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Marcel Dabadie (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Véronique Dabadie (d)
Geneviève Dormann
Marie DabadieVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Clémentine Dabadie (d)
Florent DabadieVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Académie française (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Liste détaillée
Prix Jean-Le-Duc ( et )
Molière de l'adaptateur ()
Prix Raymond-Devos ()
Prix Henri-Jeanson ()
Victoire d'honneur ()
Commandeur de la Légion d'honneur‎ ()
Commandeur des Arts et des Lettres‎
Officier de l'ordre national du MériteVoir et modifier les données sur Wikidata
Wikipedia
Jean-Loup Dabadie
250px-Jean-Loup_Dabadie.jpg
Jean-Loup Dabadie en 2009.
Fonction
Fauteuil 19 de l'Académie française
10 avril 2008 - 24 mai 2020
Pierre Moinot
Sylviane Agacinski
Biographie
Naissance
27 septembre 1938Voir et modifier les données sur Wikidata
14e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
24 mai 2020Voir et modifier les données sur Wikidata (à 81 ans)
13e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Les Portes-en-RéVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Lycée Janson-de-SaillyVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Journaliste, parolier, traducteur, réalisateur de cinéma, metteur en scène, scénariste, dialoguiste, écrivain, adaptateurVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Marcel Dabadie (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Véronique Dabadie (d)
Geneviève Dormann
Marie DabadieVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Clémentine Dabadie (d)
Florent DabadieVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Académie française (2008-2020)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Liste détaillée
Prix Jean-Le-Duc (1972 et 1974)
Molière de l'adaptateur (1987)
Prix Raymond-Devos (2004)
Prix Henri-Jeanson (2004)
Victoire d'honneur (2009)
Commandeur de la Légion d'honneur‎ (2015)
Commandeur des Arts et des Lettres‎
Officier de l'ordre national du MériteVoir et modifier les données sur Wikidata

Jean-Loup Dabadie, né le 27 septembre 1938 dans le 14e arrondissement de Paris et mort le 24 mai 2020 dans la même ville[1], est un homme de lettres français.

Journaliste, romancier, auteur de sketches et de chansons, auteur et metteur en scène dramatique, traducteur, scénariste et dialoguiste, il est élu à l'Académie française le 10 avril 2008 au fauteuil de Pierre Moinot.

Jean-Loup Dabadie était le beau-frère de Robert Charlebois.

Biographie

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Jeunesse et débuts

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Fils du parolier Marcel Dabadie (1913-2012)[2] (ayant notamment travaillé pour Maurice Chevalier, Jean Sablon, Julien Clerc, Les Frères Jacques) et de Maddalena Mennella (1914-2009)[3], d'origine italienne, Jean-Loup Dabadie voit le jour à Paris en 1938. Il passe son enfance chez ses grands-parents à Grenoble où il est scolarisé au lycée Champollion[4]. Il poursuit ses études à Paris au lycée Janson-de-Sailly puis au lycée Louis-le-Grand. Étudiant en lettres à Paris, le jeune homme se passionne pour l’écriture.

En 1957, à dix-neuf ans, Jean-Loup Dabadie publie son premier roman, intitulé Les Yeux secs, aux éditions du Seuil, suivi l’année suivante par Les Dieux du foyer. Pendant ses débuts de romancier, le jeune auteur amorce une carrière de journalisme grâce à Pierre Lazareff, dirigeant de Candide. Au cours de cette période, il collabore à la création de la revue Tel Quel, avec Philippe Sollers et Jean-Edern Hallier, et il écrit des critiques de films et des reportages pour Arts.

Sketches, télévision, cinéma et théâtre

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Déjà fort occupé, Dabadie écrit dès 1962 pour la télévision. Il fait alors équipe avec Jean-Christophe Averty et Guy Bedos pour les émissions produites par Michèle Arnaud (Histoire de sourire et Les Raisins verts). Vient, ensuite, le temps du service militaire, pendant lequel il est affecté dans un régiment de parachutistes à Tarbes[n 1].

250px-Indentite-JL-Dabadie-1963-Sacem.pngJean-Loup Dabadie en 1963. Photo d'identité Sacem.

Au cours de son service, l’auteur envoie quelques sketchs à Guy Bedos, dont Bonne fête Paulette et Le Boxeur. Peu après, en 1963, alors que Dabadie regarde la télévision, il voit Bedos interpréter ses deux sketchs. Cette nouvelle collaboration donnera naissance aux sketchs Monsieur Suzon, Un jeune homme de lettres, Dernier dans la première.

Jean-Loup Dabadie amorce, pendant les années 1960, une carrière de scénariste. Il collabore, au fil des années, avec les réalisateurs français Claude Sautet (Vincent, François, Paul… et les autres, Les Choses de la vie, César et Rosalie, Max et les Ferrailleurs, Une histoire simple, Garçon !), Yves Robert (Clérambard, Salut l'artiste, Un éléphant ça trompe énormément, Nous irons tous au paradis, Courage fuyons), Claude Pinoteau (Le Silencieux, La Gifle, La Septième Cible), et François Truffaut (Une belle fille comme moi, 1972).

Sa carrière est également marquée par le théâtre. Il a signé quelques pièces dont La Famille écarlate (1967), et adapté en français plusieurs autres pièces Le Vison voyageur (1969), Madame Marguerite (1974) et Double mixte (1986).

Parolier prolifique

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En 1967, il écrit, sur une musique de Jacques Datin qu'il considère comme son parrain, Le Petit Garçon pour Serge Reggiani. L'interprète enregistrera pendant sa carrière plusieurs titres signés Dabadie : Et puis (1968), De quelles Amériques (1970), L'Italien (1971), Hôtel des voyageurs (1972), Les Mensonges d'un père à son fils (1972), Le Vieux Couple (1972), La Chanson de Paul (1975).

Régine, qui se lance dans la chanson, se cherche un répertoire (elle a chanté Gainsbourg et Frédéric Botton). En 1968, elle enregistre une chanson de Dabadie : Il m'a laissé deux cigarettes. Puis en 1969 L'Accident et, en 1970, Les Filles de la rue d'Amérique. Enfin, en 1978, Jean-Loup Dabadie écrit pour elle Moi mes histoires.

Il compose deux chansons pour Michel Polnareff en 1969 : Tous les bateaux, tous les oiseaux et Ring a ding. Cette collaboration se poursuit tout au long de la décennie : Dans la maison vide (1970), Holidays (1972), On ira tous au paradis (1972)[n 2], Lettre à France (1977), Jour après jour, Nos mots d’amour.

Mireille Mathieu chante également ses textes, avec plus ou moins de succès : C’est la vie mais je t'aime (1970), Pour toi (1970), L'Homme qui sera mon homme (1971) et C'était dimanche (1972). Il compose pour Claude François : Je danse (1971) et Nina nana (1972). Parmi les autres interprètes de chansons composées par Jean-Loup Dabadie à cette époque, on peut citer : Marcel Amont (Dagobert, 1970, L’École), Michèle Arnaud (La Maison), Barbara (Marie-Chenevance, 1971), Dalida (Le Clan des Siciliens, 1970), Juliette Gréco (Ta jalousie, 1974), Marie Laforêt (La Ballade de Clérambard) et Dominique Walter (Les Années 1970, 1969, L’Enfant sur la montagne).

En 1974, il écrit un texte pour Jean Gabin, Maintenant je sais, d'après la chanson But now I Know composée par Philip Green.

Au milieu des années 1970, Jacques Dutronc, qui diversifie ses auteurs, collabore avec Dabadie : J'comprends pas (1975) et Mais surtout sentimentale (1975). Petula Clark interprète Dans la ville, en 1973. Pour Nicole Croisille, il écrit La Femme et l'Enfant en 1977, puis David, et Au revoir et merci.

À la même époque, Julien Clerc amorce un virage et a besoin de nouveaux paroliers. En 1976, Dabadie lui écrit la chanson Le Cœur trop grand pour moi et, en 1978, Ma préférence, qui deviendra un classique du répertoire de l'interprète. La collaboration entre Julien Clerc et Jean-Loup Dabadie donnera notamment naissance au fil des années à L'Assassin assassiné (1980), Femmes, je vous aime (1982), Je suis mal et Elle danse ailleurs (1997), entre autres.

Au début des années 1980, Robert Charlebois, qui amorce lui aussi un virage dans sa carrière, se tourne vers Dabadie : Nuage no 9 (1979), Meurs pas (1982), Les chiffres parlent (1982). Pendant cette période, l'auteur signe les dernières chansons d'Yves Montand (L'Addition, 1980, Valentin). Johnny Hallyday interprète J'ai épousé une ombre tiré du film éponyme (1983)[5].

Il écrit L'Homme aux bras fermés pour Alice Dona (1980) ; puis pour Sacha Distel (Donne-moi la main encore, 1982), Patrick Juvet (Rêves immoraux, Le Saturnien, 1982) et Nicoletta (Un homme, 1981).

Pour Michel Sardou, il écrit ou coécrit avec lui, Chanteur de jazz (1985), L'Acteur (1987), Tous les bateaux s’envolent (1987), Féminin comme, Salut, Road book

Il écrit pour Sylvie Vartan Aimer (1981), Le Dimanche et encore (1983), Liberté (1990), Petit Bateau (1997). Richard Cocciante, qui avait déjà interprété Jean-Loup Dabadie, enregistre Être aimé, en 1993. La même année, l’auteur écrit Tout le temps, tout le temps pour Elsa.

En 2002, sur une musique composée par Alain Goraguer[6], Jean-Loup Dabadie écrit Le Temps qui reste, la dernière chanson interprétée sur scène par Serge Reggiani[7].

D'autres interprètes ont jalonné sa carrière de parolier, dont Didier Barbelivien, Liane Foly (avec La Chanson d'Hélène, que chantent Romy Schneider et Michel Piccoli dans le film Les Choses de la vie), Jesse Garon (La Bicyclette bleue) et Henri Salvador.

Mort

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En vacances dans sa maison de l'île de Ré, Jean-Loup Dabadie tombe malade. Hospitalisé en urgence à Paris, il meurt à 81 ans le 24 mai 2020 à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris[1], de causes demeurant inconnues au public. Son ami Guy Bedos meurt quatre jours après.

En raison de la crise sanitaire liée au Covid-19, ses obsèques se déroulent dans l'intimité, le 29 mai, et l'inhumation aux Portes-en-Ré sur l'île de Ré[8]. En raison de la limitation des déplacements liée au Covid-19, le cinéaste Jean Becker, présent sur l'île de Ré à cette période, est la seule personnalité présente aux obsèques.

Vie privée

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Jean-Loup Dabadie s'est marié trois fois :

  • le 15 avril 1964 avec Geneviève Dormann[9], fille de l'ancien ministre Maurice Dormann (1881-1947), avec qui il a une fille : Clémentine[10], productrice de télévision ;
  • le 30 avril 1969 avec Marie Martin-Guyot, journaliste et future administratrice de l'académie Goncourt. Le couple a deux fils : Clément et Florent[11]. Florent Dabadie est présentateur et reporter de télévision et radio au Japon, après avoir été l'interprète de Philippe Troussier lorsqu'il était entraîneur de l'équipe du Japon de football de 1998 à 2002 ;
  • le 19 décembre 1997 avec Véronique Bachet.

Il a été également en couple avec la comédienne Julie Arnold à la fin des années 1980[12].

Il est le parrain de Nicolas Bedos, fils de Guy Bedos (1934-2020).

Reconnaissance

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Pendant sa carrière, Jean-Loup Dabadie a été récompensé à plusieurs reprises : le grand prix Vincent-Scotto en 1972, le grand prix de la Sacem en 1984 et le grand prix de la chanson française en 2000. Deux de ses films ont reçu le prix Louis-Delluc (Les Choses de la vie et La Gifle).

Académie française

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Après un échec en 1989 où il avait récolté 13 voix, il est élu le 10 avril 2008 à l'Académie française au fauteuil de Pierre Moinot (fauteuil no 19), par 14 voix sur 25[13]. Par lui, l'Académie renoue avec le cinéma, qui n'y était guère représenté depuis la mort en 1981 de René Clair, élu au même fauteuil en 1960. Il est reçu par ses pairs le 12 mars 2009[14]. C'est lui qui prononce le discours de réception de Xavier Darcos le 12 février 2015[15],[16].

Œuvres

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Publications

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  • 1957 : Les Yeux secs (roman), Le Seuil
  • 1958 : Les Dieux du foyer (roman), Le Seuil
  • 1960 : Du côté de Barcelone, roman de Luis Goytisolo, traduction de Jean-Francis Reille et Jean-Loup Dabadie, Le Seuil
  • 1961 : Villa Milo, roman de Xavier Domingo, traduit de l'espagnol par Bernard Savigny et Jean-Loup Dabadie, Le Seuil
  • 2009 : Conversations avec Jean-Loup, entretien avec Véronique Dabadie, Le Cherche-midi

Jean-Loup Dabadie a également collaboré aux revues Candide, Tel Quel et Arts.

Sketchs

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Jean-Loup Dabadie a été le collaborateur de Jean-Christophe Averty avant d'écrire des sketches pour Guy Bedos, puis pour le couple que ce dernier forme avec Sophie Daumier, notamment Le Boxeur, Bonne fête, Paulette, Monsieur Suzon, Un jeune homme de lettres, Dernier dans la première, La Drague et La Police avec nous.

Il a également écrit pour Sylvie Joly, Michel Leeb, Pierre Palmade, Muriel Robin et Jacques Villeret.

Théâtre

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Auteur

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  • 1967 : La Famille écarlate de Jean-Loup Dabadie, mise en scène Gérard Vergez, théâtre de Paris
  • 1988 : D'Artagnan, texte du spectacle de Jérôme Savary
  • 1993 : Je ne suis pas un homme facile de Jean-Loup Dabadie
  • 2004 : Fans, je vous aime ! de Pierre Palmade, Henri Mitton, Jean-Loup Dabadie, Sylvie Joly, mise en scène Bruno Agati, Alex Lutz, théâtre des Mathurins

Adaptation

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  • 1969 : Le Vison voyageur de Ray Cooney et John Chapman, mise en scène Jacques Sereys, théâtre du Gymnase
  • 1972 : Le Légume de F. Scott Fitzgerald
  • 1974 : Madame Marguerite de Roberto Athayde, mise en scène Jorge Lavelli, théâtre Montparnasse
  • 1985 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Bernard Murat, théâtre de l'Atelier, (Molière du meilleur adaptateur d'une pièce étrangère 1987)
  • 1986 : Double mixte de Ray Cooney, mise en scène Pierre Mondy, théâtre de la Michodière
  • 1990 : Quelque part dans cette vie d'Israël Horovitz, adaptation et mise en scène Jean-Loup Dabadie, théâtre des Bouffes-Parisiens
  • 1999 : Comédie privée de Neil Simon
  • 2002 : Même heure l'année prochaine… de Bernard Slade
  • 2006 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Bernard Murat, théâtre Édouard-VII

Chanson

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Cinéma

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Distinctions

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Décorations

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  • Commandeur de la Légion d'honneur Commandeur de la Légion d'honneur (2015[17]).
  • Officier de l'ordre national du Mérite Officier de l'ordre national du Mérite[18].
  • Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres (2002)[18],[19]

Récompenses

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  • 1969 : prix Louis-Delluc pour Les Choses de la vie.
  • 1972 : Grand prix Vincent-Scotto
  • 1972 : prix Jean-Le-Duc de l'Académie française pour César et Rosalie.
  • 1974 : prix Jean-Le-Duc de l'Académie française pour La Gifle.
  • 1974 : prix Louis-Delluc pour La Gifle.
  • 1983 : Grand prix du cinéma de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre.
  • 1984 : Grand prix (humour) de la SACEM.
  • Molières 1987 : Molière de l'adaptateur pour Deux sur la balançoire.
  • 2000 : Grand prix de la chanson française (parolier) de la SACEM.
  • 2004 : Grand prix Raymond-Devos de la langue française du ministère de la Culture.
  • 2004 : prix Henri-Jeanson de la SACD pour l'ensemble de son œuvre.
  • 2009 : Victoire de la musique d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[20].

Nominations

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  • César 1977 : Meilleur scénario original ou adaptation pour Un éléphant ça trompe énormément.
  • César 1978 : Meilleur scénario original ou adaptation pour Nous irons tous au paradis.
  • César 1979 : Meilleur scénario original ou adaptation pour Une histoire simple.
  • Molières 1990 : Molière de l'adaptateur pour Quelque part dans cette vie.

Notes et références

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Notes

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  1. Sous-lieutenant à Saumur, école de cavalerie avec le capitaine Shiffer escadron 502A.[réf. nécessaire]
  2. Ode à la liberté d'expression, cette chanson recrée une ambiance d'une grande manifestation fraternelle grâce à la présence de 20 choristes lors de son enregistrement.

Références

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  1. a et b François Aubel, « L'académicien Jean-Loup Dabadie est mort à 81 ans », Le Figaro,‎ 24 mai 2020 (lire en ligne, consulté le 24 mai 2020).
  2. Notice biographique du catalogue général de la BnF ; matchID.
  3. Who's Who, édition 1996-97, page 503[source insuffisante].
  4. « Mort de Jean-Loup Dabadie : l'académicien a passé son enfance à Grenoble et était fervent supporter du FCG », sur francebleu.fr, 24 mai 2020 (consulté le 25 mai 2020)
  5. J'ai épousé une ombre sur hallyday.com, consulté le 24 mai 2020.
  6. Yves Cusset, Les mortels et les mourants: Petite philosophie de la fin de vie, Editions du Rocher, 01/10/2021
  7. Louis-Jean Calvet, Cent ans de chanson française, L'Archipel, 01/06/2010 (voir partie dédiée à Jean-Loup Dabadie et partie dédiée à Serge Reggiani).
  8. « Le parolier Jean-Loup Dabadie inhumé vendredi dans l’île de Ré », sur sudouest.fr, 27 mai 2020.
  9. « La romancière Geneviève Dormann est morte », lefigaro.fr, 13 février 2015.
  10. Who's Who, édition 1996-97, page 593[source insuffisante].
  11. « Jean-Loup Dabadie : Un nouvel immortel à l'Académie », sur Larousse.fr, 23 novembre 2008 (consulté le 22 décembre 2008).
  12. « Mort de Jean-Loup Dabadie : retour sur son histoire d’amour avec Julie Arnold », sur femmeactuelle.fr, 24 mai 2020
  13. Stéphane Davet, Alain Beuve-Méry, « Dabadie à l'Académie française : mon copain sous la Coupole », sur LeMonde.fr, Le Monde interactif, 13 mars 2009 (consulté le 11 avril 2012)
  14. Retransmission intégrale de la réception de Jean-Loup Dabadie sous la Coupole sur Canal Académie
  15. « Réponse de M. Jean-Loup Dabadie au discours de M. Xavier Darcos », sur Le Figaro, 12 février 2015 (consulté le 24 juillet 2020)
  16. « Réception de M. Xavier Darcos (F40) », sur Académie française (consulté le 24 juillet 2020)
  17. Décret du 13 juillet 2015 portant promotion.
  18. a et b « Jean-Loup Dabadie », sur academie-francaise.fr (consulté le 24 mai 2020).
  19. « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°10 du 28/12/2002 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le 14 octobre 2023)
  20. « Jean-Loup Dabadie reçoit une Victoire de la musique honorifique », AFP, 28 février 2009.

Annexes

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Bibliographie

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  • Robert Belleret, « Jean-Loup Dabadie, l'air du temps en solo », Le Monde, 2004 ; repris dans Portraits sur le vif, Amazon, 2014.
  • Christophe Tardieu, Les Années Dabadie, éditions de l'Observatoire, 2023, 224 p.

Liens externes

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    • Larousse
    • Who's Who in France
  • Page sur le tandem Jean-Loup Dabadie-Julien Clerc sur julien-clerc.net
  • « Dabadie-Sollers suivi de Bedos-Dabadie. In memoriam » sur pileface.com
  • Jean-Loup Dabadie sur le site de l'Académie française
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