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Affiche du document Police US : pas de tir à blanc pour les noirs

Police US : pas de tir à blanc pour les noirs

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Durée du cours : 0h49Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSLa police américaine a-t-elle définitivement un problème avec les noirs ? La mort effroyable de George Floyd, à Minneapolis, le 25 mai 2020, est venue s’ajouter à une interminable et dramatique liste : celle des hommes noirs, non armés, tombés sous les coups de policiers censés protéger les citoyens. George Floyd, et avant lui, Eric Garner, Tamir Rice, Jamar Clark, Trayvon Martin… ces noms et ces visages renvoient à la face du monde une terrible réalité : un mal profond ronge la société américaine. C'est en partant de cette terrible réalité que Julie Lotz et Jean-Charles Guichard ont réalisé en 2015 ce documentaire qui reste, hélas, totalement d’actualité. Les réalisateurs interrogent avant tout des rescapés de violences policières et des familles de victimes. Leurs propos sont poignants et glaçants. Mais la grande force de ce film est aussi de se pencher pour la première fois sur le fonctionnement de la police elle-même. Comment des agents sombrent-ils dans le racisme, la violence et ne sont quasiment jamais sanctionnés ? On découvre que les policiers américains sont mal entrainés, que pour eux, l’ultra-violence et l’agressivité sont des signes d’efficacité ; que dans un pays où circulent des millions d’armes à feu, ils ne veulent prendre aucun risque et du coup, apprennent à tirer même si la situation est mal évaluée. Au cours de cette enquête, une évidence apparait : le racisme est le mal latent dont souffre toute une partie de la police. Les noirs sont spontanément les objets de tous les clichés, ceux dont on se méfie davantage, ceux avec lesquels la violence est plus acceptable, finalement tolérée. Comme l’explique Ray Lewis, policier retraité de Philadelphie, qui a entamé une croisade contre cette violence aveugle et raciste : les noirs n’ont pas les moyens de se plaindre. C'est pourquoi, on leur parle mal, « on peut les frapper sans souci ». Nombre d’agents ne sont jamais inquiétés par leur hiérarchie. Alors imaginez un jugement dans un tribunal… Comment une société, a priori aussi évoluée que celle des États-Unis, peut-elle tolérer un tel niveau de violence de la part des forces de l’ordre ? Comment peut-elle accepter une telle impunité qui remet en cause l’égalité devant la loi, fondement de l’État de droit ? Ces interrogations profondes la hantent chaque fois qu’un Afro-Américain meurt sous les coups de la police.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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Affiche du document Les enfants sacrifiés du canada

Les enfants sacrifiés du canada

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Durée du cours : 50minCompatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSCe documentaire raconte l’une des pages les plus noires de l'Histoire du Canada. Un grand reportage d’investigation sur ces pensionnats qui s’inscrivent dans la politique d’éradication des tribus indiennes du pays menée aux 19e et 20e siècles. Des pensionnats administrés par l’Église où les jeunes autochtones subissaient un véritable lavage de cerveau pour les couper de leur culture séculaire. Cheveux longs rasés, interdits de parler leur langue vernaculaire, évangélisés de force, frappés, humiliés… plus de 35 000 y ont été victimes de viols ou d’agressions sexuelles commis par des membres du clergé. Un chapitre qui résonne tragiquement avec l’actualité alors que le Vatican est en pleine tourmente suite à de nombreuses affaires de pédophilie. Nos journalistes Jean Bolzinger et Matthieu Firmin sont partis au Canada sur les traces de cette histoire tragique. Ils ont retrouvé d’anciens pensionnaires aujourd’hui âgés d’une cinquantaine d’années comme Madeleine, Alice ou Marcel. Ils nous font partager leurs souvenirs douloureux et les conséquences multiples qu’a eu cette période sur eux et sur leurs proches. Notre enquête a permis de retrouver le curé qui a violé Marcel à de nombreuses reprises et d’anciens responsables politiques et religieux de premier plan qui s’expliquent sur l’objectif de ces pensionnats et sur cette politique d’éradication. Un road movie haletant dans un Canada qui essaie aujourd’hui de cicatriser ces blessures profondes.LeconsLes enfants sacrifiés du canada
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Main aux fesses, claque dans ta face !

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Durée du cours : 0h13Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSSifflements, insultes obscènes, regards insistants, attouchements, viols... le harcèlement sexuel toucherait quotidiennement une grande majorité des femmes jordaniennes. Dans une société profondément machiste, les victimes se taisent, rongées par la peur et la honte. Le sujet est tabou, du coup, pour une femme jordanienne, c'est "tais-toi et marche". Et pour les hommes ? C'est l'impunité totale. Mais depuis quelques années, une femme a décidé de briser ce silence assourdissant et de donner des armes aux victimes de harcèlement. Lina a créé Shefighter, le premier centre d’autodéfense au féminin. Le principe : apprendre à ces femmes à se défendre à coups de pieds (« she kick ») et de poings (« she punch ») contre leurs agresseurs. Avec 17 années de pratique du Taekwondo, Kick-Boxing, de Kung Fu et de boxe, Lina sait de quoi elle parle. Plus qu’un cours de combat, la classe est un refuge, où après avoir appris comment exploser un nez, les femmes discutent entre elles. Après plusieurs séances, elles prennent confiance et repartent avec de nouvelles armes pour affronter ceux qui leurs pourrissent la vie. Lina voit grand : elle va créer sa propre armée. Pour elle, Shefighter sera bientôt dans toutes les écoles. Les femmes jordaniennes sauront se battre et oseront enfin parler et défendre leurs droits. Une initiative qui avait tapé dans l'oeil d'Obama. L'ancien président américain avait en effet salué l'action de la jeune femme lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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Gare au gourou !

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Durée du cours : 0h17Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSEn 2015, Gurmeet Ran Rahim comptait 50 millions d’adeptes et 35 millions d’euros sur son compte. Personnage exubérant, il est devenu la star des films qu’il produit. Côté coulisses, c’est beaucoup moins reluisant, voire dangereux, comme nous le montre notre journaliste Mandakani Galhot qui est allée au plus près du personnage. Enquête dans son fief, dans l’Haryana, un état du nord de l’Inde. Gurudji est un gourou qui ne doute de rien, ou presque. Il a opté très modestement pour les initiales de MSG, pour “Messager of God”. Dans l’Haryana, ce gourou aux méthodes pourtant controversées fait l’objet d’un incroyable culte. Cinéma, télévision, affiche, il est partout, impossible d’y échapper. Ces fidèles l’adulent et viennent voir et revoir ses films. Ils s’extasient devant ses nombreux talents. Comment ce petit affublé d’un simili costume de Superman est-il parvenu à conquérir le coeur et les esprits de millions de fidèles ? Ce démiurge aux allures de Demys Roussos dispose de son propre camp retranché et de sa garde prétorienne. Ni la justice, ni la police ne viennent lui demander des comptes. Il est intouchable. Ce gourou ferait donc l'unanimité ? Pas vraiment, en fait. De sombres histoires courent à son sujet : il aurait poussé plusieurs centaines de ses adeptes à se faire castrer pour continuer leur quête spirituelle. Mais rares sont ceux qui osent se dresser devant lui. Pire, les millions d'adeptes du Gurudji ont commencé à intéresser les hommes politiques qui voient en eux de potentiels électeurs.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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Affiche du document Avec Audrey, l'Afrique c'est chic !

Avec Audrey, l'Afrique c'est chic !

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Durée du cours : 0h46Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSAudrey a rejoint Gaborone, pour voir comment se portait la mode dans la capitale du Botswana. Un peu plus de 13 heures d’avion pour atteindre ce pays grand comme la France et peuplé de deux millions d’habitants. Coincé entre le Zimbabwe et l’Afrique du Sud, le Botswana montre l’exemple en matière de fonctionnement démocratique : il est l’un des pays les moins corrompus d’Afrique. Troisième producteur mondial de diamants, on le surnomme la Suisse de l’Afrique. Pourtant, cette prospérité ne met pas le pays à l’abri des calamités. Le SIDA touche 20% de la population. Le Bostwana est lancé dans une course à la modernité et les habitants s’ouvrent petit à petit. Audrey a un talent : elle met en confiance les gens. Et les « fashionistas » ne font pas exception. De mariages en salons, d’ateliers en défilés, Audrey rencontre ces créatrices qui redessinent les formes du Mogagolwane, la tenue traditionnelle, et façonnent des vestes propres à rendre jaloux les sapeurs congolais. Ces « Divas du style », comme les appelle Audrey, conjuguent charme et audace. Mais point de concours d’élégance aux abords des églises, le poids de la religion reste fort et les robes se portent alors avec quelques centimètres de tissus supplémentaires. C’est à l’université que l’on retrouve une jeunesse « lookée », des apprentis hipsters qui, soit se bricolent des fringues, soit font du shopping dans les centres commerciaux. Dans la rue, Audrey part essayer la street-food et s’extasie devant ces gens décidément très cool. Comme Koane, l’Isabelle Marant de Gaborone, une styliste enjouée qui propose une mode simple mais pas simpliste, une sorte de ligne claire ethnique, tout en couleur et en fraicheur.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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Affiche du document Condamnés à halluciner

Condamnés à halluciner

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Durée du cours : 0h13Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSEt si un bon trip vous remettait dans le droit chemin ? Difficile d’y croire. Et pourtant, c’est le pari que fait l’une des prisons les plus violentes du Brésil : la Rondonia. 4 000 prisonniers, des cellules pleines à craquer et des conditions de vie inhumaines. En 2002, c'est là que s'est produite l’une des plus sanglantes mutineries de l’histoire des prisons brésiliennes. Elle s’est soldée par la mort de 27 personnes. Les pensionnaires : des violeurs, des assassins, des trafiquants, bref, la fine fleur des taulards brésiliens. A priori, leur situation est sans issue. Et pourtant, depuis 2012, la direction de la prison expérimente un programme plutôt surprenant : faire planer les criminels pour les sauver de leurs pulsions sanguinaires. Comment ? Grâce à une boisson hallucinogène extrêmement puissante, datant de la nuit des temps et utilisée par les tribus d’Amazonie : l’Ayahuasca. Certains la surnomment poétiquement la «liane des âmes». Fabriquée à base de plantes, c’est surtout un cocktail bien dosé qui plonge celui qui l’absorbe dans une transe libératrice durant laquelle il revit les moments traumatisants de sa vie, prend conscience du mal qu’il a pu causer et commence à se repentir. Voilà ce qui a plu au directeur de la prison, qui y a vu un moyen de soigner les criminels. Ainsi, depuis 2012, plus de 2000 prisonniers volontaires ont participé au programme. Chaque mois, treize d’entre eux embarquent pour une balade spirituelle. Ils rejoignent un site tenu par des chamanes en pleine forêt et se soumettent à l’Ayahuasca. Pendant quatre heures, ils basculent dans une autre dimension et sous l’effet de cette drogue, revoient les horreurs qu’ils ont commises, les personnes qu’ils ont tuées. Ils en reviennent bouleversés et confessent souvent se sentir comme transformés après quelques mois. Certains disent qu’un trip sous Ayahuasca vaut au moins dix ans de thérapie. C’est peut être un peu exagéré, mais en attendant, depuis le début des traitements à la prison de la Rondonia, le taux de récidive a baissé de 40%.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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Affiche du document Immigration en Australie : les camps de la honte

Immigration en Australie : les camps de la honte

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Durée du cours : 0h59Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSCe sont deux îles perdues dans l’océan pacifique. Deux minuscules îles, parmi les plus pauvres du monde. Leurs noms : Manus et Nauru. Rares sont ceux qui connaissent leur existence. Pourtant, ces îlots cachent une situation que le grand pays voisin, l’Australie, voudrait à tout prix garder secrète. C’est en effet là, que, depuis 2001 et surtout 2012, il enferme, dans des conditions absolument déplorables, les migrants qui tentent d’atteindre ses côtes. “You won’t be settled in Australia” (vous ne vous installerez pas en Australie) : c’est le slogan choc qu’affiche le pays. Désormais, aucun demandeur d’asile, même s'il réussit à prouver son statut de réfugié politique, ne sera accepté sur le territoire australien. Les bateaux clandestins sont escortés vers des îles pauvres de l’Océanie. Ils sont ensuite enfermés dans des camps d'accueil gérés par des sociétés privées le temps que leur dossier de demande d'asile soit examiné. Et s’ils obtiennent le graal au bout de plusieurs années, c’est uniquement sur leur île d’accueil. C’est la « Solution Pacific » : une immigration délocalisée, gérée par des sociétés privées dans des pays lointains, moyennant finances. Le pays se vante ainsi d’avoir mis en place la politique la plus dure au monde en matière d’immigration. Mais à quel prix ? Car derrière les barbelés des centres de détention, la situation sanitaire est dramatique. Dans cette jungle, les tentatives de suicides et les violences se multiplient. Quant aux réfugiés politiques qui décident en désespoir de cause de s'établir dans les îles, leur existence est sans issue. Ces hommes tentent par tous les moyens d’attirer l’attention du monde sur leur sort. Aujourd’hui, dans une Europe confrontés à l’afflux de migrants, certains pays européens sont tentés par l’exemple australien. Voici le vrai visage de cette soi-disant “solution miracle”. Comment faire comprendre le quotidien de ces réfugiés sans image : les camps de Nauru et Manus sont totalement fermés aux regards extérieurs. Nous n'avons pas été autorisés à filmer la réalité à l'intérieur des centres de détention, nos journalistes ont donc choisi de l’illustrer. C’est la voix d’un prisonnier, contacté grâce à un téléphone infiltré, qui nous raconte l'odyssée de ces hommes et leur vie de prisonniers. Ces narrations sont portées à l'écran en images d'animation. Un processus inédit qui donne une toute autre teneur au récit.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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Affiche du document Audrey en Ukraine, c'est

Audrey en Ukraine, c'est "guerre et mode"

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Durée du cours : 0h45Compatibilité : Windows, Mac, Linux, Android, IOSAudrey, notre spécialiste de la mode, est en Ukraine. De 2014 à 2019, le pays est déchiré par une guerre civile qui oppose le gouvernement central à une rébellion séparatiste pro-russe dans le sud-est du pays. Une guerre qui a déstabilisé toute l’Europe, fait des milliers de morts… et ruiné l’économie. Malgré cette actualité tragique, la mode est en pleine expansion en Ukraine. Alors Audrey est partie à la rencontre de ces designers qui se battent pour leur pays, mais à coup de ciseaux et de machines à coudre… Dans la capitale ukrainienne, rien ne laisse percevoir que le pays a été en guerre. Le soleil brille, on déguste des glaces et on se détend dans les parcs de la ville... Si Kiev est épargné par les bombes, Audrey va vite se rendre compte que la guerre est présente dans toutes les conversations et qu’elle impacte au quotidien le travail des designers. Cette réalité, Audrey la découvre dès le premier jour. Avec la guerre, le patriotisme est devenu à la mode. Le drapeau flotte à chaque coin de rue et le “made in Ukraine” est plébiscité. Du coup, le costume traditionnel : la Vishivanka, robe ou chemise de lin et coton brodée sur les manches, effectue un retour en force… Et sur la scène internationale, il est adopté par les “hit girls” et des créateurs comme Valentino. Malgré le chaos qui règne dans le pays, certains designers arrivent à montrer des collections qui rencontrent un énorme succès, notamment sur le marché international. C’est le cas d’Ana K, créatrice en vue qui exporte dans 25 pays sa collection pop et acidulée. Audrey est très admirative de la jeune Anna qui trace sa route malgré la guerre.LeconsDocumentaire vidéo Spicee
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